Ecrit à la suite d'un délire sur la "face de bouc".... Ça m'a pris du temps alors je le publie pour rentabiliser.
Il y a -je le crains- un problème de taille,
Trop de compromissions nous amènent aujourd’hui
A financer les riches avec nos spaghettis.
Le nabot c’est certain nous mettra sur la paille,
Les gars de la Marine, sous leur airs d’affranchis,
Mettraient une belle pagaille tout autour de Paris.
Le pauvre socialo, si jamais il s’y colle,
Ne fera guère mieux avec son joli col.
Car l’état en 12 ans a été bétonné
Par ces tas de cafards qui nous ont enfumés.
Les autres sont sympas mais ils ne servent guère
Qu’à disperser les votes et à risquer la guerre.
Comme en 2002 où au deuxième tour,
C’est le « n’importe quoi » qui nous a pris de court !
A ces extrémités je ne veux arriver,
Alors directement « Hollande ! » je vais voter…
Cela ne me plait pas mais je n’ai pas le choix :
On nous force à choisir : la peste ou bien le choléra.
Je rêve d’un scrutin où vraiment on s’exprime,
Où quand on a dit « blanc ! » c’est vraiment qu’on déprime,
Et où notre avis compte dans toute sa vérité
Et non pas seulement comme un vote « forcé ».
Alain (pas le philosophe : moi).